Et oui, il ne va pas y échapper, notre capitaine cagolin croyait encore mercredi ne pas être le détenteur de CAGOLIN.
Effectivement, l'action se passe en deuxième mi-temps sous les yeux de toute la tribune (bien garni pour cette heure), Cagolin lancé comme un frelon, prend un intervalle dont lui seul en a le secret. Après une course de 20 mêtres, cagolin se sent pousser des ailes et voit la ligne poindre sous ses pieds, mais ce dernier, le cerveau en manque d'oxygène suite à sa course effrênée, veut faire plaisir à sous capitaine James qui lui aussi non sans mal est venu à hauteur, tous le monde a les bras levé, la tribune scande le nom de cagolin qui va poindre en terre promise mais ce dernier décide, dans un élan de bonté de faire plaisir à James, et de lui passer la balle à 1 mêtre de la ligne. Que s'est-il passé dans la tête de Cagolin le retour de la défense, non. Personne ne sait sauf lui. Résultat, passe dans le vide, désaroi de tous le monde, et une course à vide de sous cap's. Mais non comptant de cela, Cagolin plonge sur le ballon laissé choir quelques millième de seconde auparavant et fait une faute qui nous permettra de repartir à 10. Cagolin, beau joueur, décide de s'adjuger le précieux trophée dès le match fini. Après notre ami Rémi, Stéphane Lalande plonge un peu plus tous le monde dans le doute quant à savoir qui peut conserver ce trophe plus de 10 jours en mémoire à notre mentor à tous Gilles Zelivitch. LA Bataille s'annonce dure et longue jusqu'à la fin de la saison.